Je suis folle !

Je viens de faire quelque chose ... qui m'énerve pas mal dans le bon sens

Je viens de m'inscrire à l'université pour un programme cours de deuxième cycle en psychologie légale Si je suis acceptée, j'y apprendrai en profondeur la loi de la protection de la jeunesse et ses rouages, de même que l'intervention avec les individus ayant des comportements violents. Tout ça pour deux buts :

1- Avoir plus de chance de travailler à la DPJ
2- Pouvoir avoir une lettre de recommandation d'un Professeur pour accéder au Doctorat en Psychologie. Comme j'ai terminé mon Bacc en 2001, il m'est difficile de trouver un superviseur de Thèse. Je dois donc ''me refaire connaître''

Je vais peut-être tenté de m'inscrire quand même au Doctorat donné par l'Université de Sherbrooke au campus de Longueuil. Mais, comme c'est à temps plein ... c'est plus complexe. Je travaille à temps plein et les deux ensembles sera impossible à gérer. Bref, on verra !

Pour là, je croise les doigts ! La psychologie légale ... évaluer le risque de récidives sexuelles et tout le reste.

Courage !

Allez, Mel !

Bonne chance dans ce merveilleux programme qui promet de longues heures de travail !

Je suis de tout cœur avec toi !

Juste une question. Qu'est-ce que la DPJ ?

En France, cela veut dire Département de la Police Judiciaire. Cela à la même signification au Québec ?

Non, la DPJ est le département de la protection de la jeunesse. Ce sont les services sociaux, en somme. Mon but est de devenir agente de relations humaines. Qu'est-ce que ça mange en hiver ? C'est la personne qui prend connaissance des dossiers de compromission du développement des enfants, qui décide si le développement de l'enfant est compromis ou pas, qui crée les plans d'interventions et qui, finalement, veille à ce que la situation de compromission change. Advenant le fait que la situation ne change pas, ce sera à moi de recommancer que l'enfant soit retiré de sa famille et hébergé ailleurs, soit en centre jeunesse, en famille d'acceuil ou qu'il soit adopté. Dans certains cas, je peux recommender que l'enfant soit immédiatement retiré de son milieu. Bref, je souhaite travailler aux signalements.

Ouh, bon courage alors ! Ma mère est assistante sociale et elle fait pas mal de signalements de ce type vu qu'elle travaille dans une zone défavorisée. Le problème, c'est que les possibilités pour faire suivre les signalements manquent : juge des enfants encombrée, manque de moyens, de structures d'accueil... J'espère que tout cela se porte mieux au Québec qu'ici, où d'après ma mère, le travail social est de plus en plus entravé par les restrictions budgétaires. Il faut dire que mon département n'est pas très riche (et choisit ses priorités d'une manière parfois surprenante) !

Bonne chance !

Ah ! d'accord ! Bonne chance alors , ma belle !